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    Le Violon d'Ingres

    Orchestre symphonique amateur

    Paris

  • CLAUDE RAYMOND

    Claude Raymond obtient tout d'abord un 1er prix d'harmonie et un 1er prix de contrepoint au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris. Parallèlement il poursuit ses études de piano avec Marguerite Long et Lucette Descaves. Puis il obtient le 1er prix de direction d'orchestre du Mozarteum de Salzbourg dans la classe d'Istvan Kertesz. Revenant à Paris, il est assistant dans la classe de composition de Jean Rivier au Conservatoire National.

     

    Puis il obtient le 1er prix, à l'unanimité, de direction d'orchestre au Concours International Guido Cantelli à Stresa. En 1965 Herbert von Karajan le choisit comme élève assistant à la suite d'un concours à Berlin. Claude Raymond est ainsi l'un des rares chefs à avoir œuvré pendant plus de 20 ans aux côtés de Herbert von Karajan à la tête de l'Orchestre Philharmonique de Berlin, où il a participé aux répétitions, enregistrements, films musicaux et collaboré au Festival de Salzbourg.

     

    Il a aussi dirigé en Allemagne, Autriche, France, Angleterre, Italie, Yougoslavie. Il a été le Chef permanent de l'Orchestre de Saint-Etienne (1987-1990).

     

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  • MUSICIENS

    Violons 1

    Jérôme Denis, Benjamin Chansavang, Chloé Dardelle, Clément Dauguet, Louis Gibault, Alexis Kerjosse, Joon Kim, Anne Seguin

    Violons 2

    Juliette Cardot, Sylvie Daclin, Anne-Catherine Guillemot, Marie Guyard, Haingotiana Razafinimanana, Odile Teyssendier, Elise Thullier, Nicolas Trimardeau,

    Altos

    Baptiste Ponceau, Cécile Bridou, Stéphane O’Brien, Ava Rostampour

    Violoncelles

    Bruno Brunetti, Aude Castagna, Mélanie Ennuyer, Freddy Sitruk

    Contrebasses

    Isabelle D'Auzac, Gérard Dulot

    Flutes

    Jean Luc Petit, François Scali, John Ward

    Clarinettes

    Antoine Fouilloux, Marie-José Rebeilleau

    Hautbois

    Gérard Sitruk, Ghislaine Ferrere

    Bassons

    Sylvain Maillard, Hervé Combaz

    Trompettes

    Andrew Holford, Marianne Erard

    Cors

    Nathalie Biout, Yann Quevrin

    Timbales

    Maeva Nizon, David Triggs

    Harpe

    Juliette Montantème

  • HISTOIRE

    La génèse

    Au début du vingtième siècle, des formations de musiciens amateurs existent déjà au sein de Grandes Écoles, de Facultés ou de professions diverses. L'Ecole Polytechnique, les Facultés de Droit et de Médecine, l'Ordre des Avocats ont les leurs. A l'Ecole Nationale des Beaux-Arts, c'est d'abord un simple duo, piano et violon, puis un quatuor à cordes fondé en 1909 par des élèves architectes ; l'initiative séduit, elle attire d'autres musiciens, si bien que les effectifs s'étoffent à la mesure d'un orchestre.

     

    "L’Association Symphonique de l'Ecole des Beaux-Arts" voit ainsi le jour et donne son premier concert en public en 1911 à Paris, Salle des Agriculteurs, sous la direction de M. Renaud. C'est à cette époque que la formation prend le nom de "Le Violon d'Ingres", en souvenir du peintre qui aimait à se délasser au violon de ses travaux d'atelier, et avait été violoniste dans l'Orchestre du Capitole de Toulouse. En 1912, un second concert a lieu Salle Erard, avec Henri Welsch au pupitre de direction. Entre temps, "Le Violon d'Ingres" bénéficie des appuis les plus flatteurs : Henri Rabaud en est le Président d'honneur, et le Comité d'honneur réunit Gustave Charpentier, Charles-Marie Widor, Gabriel Pierné, membres de l'Institut, avec les noms d'Alfred Bruneau, Henri Busser, Paul Dukas, Reynaldo Hahn et Maurice Maréchal.

    La guerre et les années 50

    Survient alors la guerre de 1914 qui interrompt naturellement les activités déjà prometteuses du "Violon d'Ingres". Une première résurrection se produit en 1929 sous la direction de Maurice Bagot et se poursuit jusqu'en 1939. La Seconde Guerre Mondiale apporte une nouvelle interruption, mais "Le Violon d'Ingres" ressuscite encore, en 1943, sous la baguette, cette fois, de Claude Charpentier, architecte, qui, depuis, a dirigé plus de 200 concerts avec le concours, toujours gracieux, de solistes réputés.

    La seconde moitié du XXème siècle

    Le cinquantième anniversaire de sa direction d'orchestre fut célébré par le concert exceptionnel du 28 avril 1993, dans l'Auditorium Saint-Germain (6ème arrondissement de Paris), concert auquel ont participé Marie-Claude Theuveny, Colette Lequien, Jean Mouillère, Maud Tortelier et Maria de la Pau. Claude Charpentier confia alors la baguette à Claude Raymond qui est, depuis lors, devenu le nouveau chef d'orchestre du "Violon d'Ingres", mais Claude Charpentier resta Chef d'orchestre d'honneur et Conseiller artistique. De 1999 à son décès en 2010, l'architecte Jean-Marie Charpentier, fils de Claude Charpentier assura à son tour la Présidence du "Violon d'Ingres". Jean Michelin, arrière-petit-fils d’André Michelin et lui-même architecte, a pris sa succession.

    Aujourd'hui, l'effectif des musiciens de l'orchestre atteint la cinquantaine. Cette formation qui comprend toujours des architectes, s'est ouverte aux musiciens amateurs de toutes origines professionnelles, et continue de recruter à divers pupitres ...

  • RECRUTEMENT

    L’Orchestre du VIOLON d’INGRES est un Orchestre d’amateurs plus que centenaire. Il donne plusieurs concerts par an et a actuellement besoin de recruter des musiciens amateurs de bon niveau pour les pupitres de VIOLONS, d’ALTOS, de VIOLONCELLES, de CONTREBASSES de HAUTBOIS, BASSONS et de CUIVRES.

     

    Les répétitions ont lieu tous les mercredis à 20h00 dans une salle de l'Eglise Sainte Elisabeth de Hongrie, 195 rue du temple, 75003 Paris, métro République.

     

    Les musiciens intéressés peuvent prendre contact avec le Secrétaire Général de l’Association, Jean-Luc PETIT, via le formulaire de contact.

  • Contactez-nous